contactez-nous au 71 331 000
Abonnement

Chroniques : L'image

L'ère de la représentation... 

Celle de l'époque caractérisée par la civilisation du digital...

Par le règne du pixel dans les arts graphiques...

Dans les arts plastiques...

Dans la photographie.

Enfantant la période sans peur et sans reproche de l'image. Mettant en évidence les réalités du terrain la matérialité du vécu confirmant les faits... La chorégraphie de l'effigie ! 

Cette danse... 

Cette valse tanguante et vacillante à travers les échanges : la valse de l'illustration du ballet du bien et de la figure du mal.

Lame de fond de la circulation et de la diffusion actuelle de la conversation de la véritable communication.

Ce raz de marée remontant historiquement et se situant géographiquement vers 600 ans avant JC dans les Nord Est de l'Iran lié en fait à l'existence historique de ZARATHOUSTRA.

Zarathoustra prophète de la religion d'Ahura Mazda : le Mazdéisme.

Mais, qui est Zarathoustra ?? 

Le réformateur du Mazdéisme et le fondateur du Zoroastrisme qui a mis l'accent sur la transcendance divine tout en prêchant une morale d'action fondée sur la certitude du triomphe de la justice il prôna et prône donc le monothéisme sur le plan métaphysique, il tenta de résoudre les questions du Bien et du Mal et de la liberté de l'homme.

L'impact de ses assertions a été très grand à l'époque Sassanide en Iran.

Sa doctrine, en fait pousse à une dualité opposant les principes du bien et du mal.

Ce mal décrié par : 

Al Moutanabi 

Al Maari 

Hojjat Al Islam, Imam Al Ghazali 

Pascal 

Descartes 

Beaumarchais...

Ces maîtres à penser de l'humanité pour ne me limiter qu'à ces références.

Mais pour l'être humain il serait légitime de vivre le bien-fondé social et non de faire le mal pour le mal.

Aujourd'hui où se situer ?? 

Le Bien... ? 

Le Mal... ? 

La Frontière ??? 

À en perdre la raison !!

Car et dans cet empire actuel de la technologie du dialogue social la destruction progressive des notions, des valeurs, et des principes... De la morale a avancé et progresse de façon insidieuse sournoise et traître aboutissant à la banalisation de tout fait, de toute chose et notamment de la banalisation du mal ! 

 

Cherifa Ammar née Baouab 

Membre honoraire de la Société Tunisienne d'Histoire et de la Pharmacie

Partage
  • 25 Avenue Jean Jaurès 1000 Tunis R.P - TUNIS
  • 71 331 000
  • 71 340 600 / 71 252 869