La Chambre criminelle spécialisée dans l'examen des affaires de corruption financière près le Tribunal de première instance de Tunis a rejeté les demandes de libération du dirigeant du Mouvement Ennahdha et ex-ministre des Transports, Abdelkérim Harouni, de l'homme d'affaires Mohamed Frikha et de deux cadres d'une société nationale pétrolière.
Elle a également décidé de reporter leur procès à décembre prochain. Ils seront jugés pour des soupçons de corruption financière et administrative, dans des transactions entre une entreprise dirigée par Mohamed Frikha et une société pétrolière publique.

